Je sais qui tu es mais toi tu ne sais pas qui je suis

La vie est parfois inutile, et la mort douce et paisible

Aléa était assise sur les marches qui conduisaient à Big Ben, une légère robe d'un bleu éphémère et une veste noire aussi sombre que la nuit. Étrangement son visage paraissait différent, ses lèvres d'habitude d'un rose pale étaient ce soir d'un rouge éclatant mais apaisant. Son visage était lumineux, rayonnant d'une énergie incontesté. Ses dents blanches lumineuse la rendait radieuse, et son teint légèrement pâle ne lui donnait pas l'allure d'une malade. En un mot elle était : Élégante.
Sublime si l'on puis dire, un rendez vous ? Non, juste le pressentiment de faire une rencontre intéressante avec une personne digne de son rang, non pas social mais par rapport à la mentalité. Elle aperçut alors une silouhette et elle sourit au vent.Quelle drôle idée de savoir qu'aujourd'hui elle rencontrait une personne digne de discussion anglaise. Elle vit la personne lui passer devant et qui s'arrêta net face à la jeune fille. Oui, l'aura d'Aléa avait stoppée net cette personne inconnue. Aléa sourit à) la personne, son visage rayonnant d'une joie indescriptible. Une pensée traversa l'esprit de la jeune blondinette. Je vais pouvoir m'amuser !

Angleterre, Londres, début mai 1876 :
Traversant les rues pavées de Londres, légèrement craquelait ou un petit filet d’eau s’engouffrait parmi les touffes d’herbe et de pissenlits, Sa robe de satin rouge écarlate, au motif de fleurs de lys du même tons, voletant derrière elle, ses chaussures a talons de cuir ornait d’une boucle crissait sur les chemins londoniens, ses cheveux peigné avec une élégance et une finesse phénoménal tourbillonnait sous un chapeau en feutre blanc ou un ruban enroulé la largeur de ce dernier et maintenait de petites plumes, roses, et une fine chaine en perles. Sur ses lèvres aucun signe ne donnant son humeur ni son expression, son corps semblait être la, mais son esprit ailleurs, relevant légèrement les pans de sa robe dentelée, elle arpenta le trottoir désert, humides, et glissant, les volets des maisons étaient fermés, aucune boutiques ouvertes, les rares lumières qui parvenait était bien celle des lampadaires, ou des bougies de tailles monumentale se consumait lentement. Elle tourna sur l’angle d’une rue et se dirigeât lentement vers les quartiers populaires, elle apercut le Big Ben, la fière tour de Londres, si elle allait la bas ? oui bonne idée...un sourire amusé se dessinant sur ses lèvres roses pales légèrement nacrées, oubliant son rendez-vous avec Don Vito, elle partit vers la tour, arrivant a la hauteur des marches, elle leva quelque peu les pans de sa robe rouge sang et entama sa montée, une légère brise marine caressait sa nuque, arrivait a la fin des marches, elle vit une jeune fille ni plus agée ni plus petit quelle, assise la, humm quelle bonne surprise, souriant malicieusement, ele s'avanca et regard la jeune demoiselle assise, une seule parole sortit de sa bouche, couleur bouton de rose, a la voix d'argent
_ Good Evening !

Ciel avançait d'un pas décidé. L'après-midi touchait à sa fin et elle avait un rendez-vous. Rien de sentimental, juste d'affaires, comme on dit. Le ciel, de couleur orangée, commençait à faire ressortir les rares étoiles qui brillaient déjà. La jeune fille jeta un oeil à sa montre. 20 h 14. Ouais, en fait, c'était carrément le soir. Ses talons noirs claquaient sur les marches de l'escalier alors qu'elle passait sa main dans ses cheveux gris-argent. Elle lâcha un soupir. Décidément, elle n'était pas tranquille. Entre James et compagnie qui lui avaient foutu un vent, et les voisins qui se demandaient pourquoi à minuit elle ne dormait toujours pas, la vie n'était pas vraiment une partie de plaisir. Une mauvaise passe. Ça ne pouvait être que ça. Remarquant à peine la forme pâle à côté d'elle, la jeune fille continua de sauter de marche en marche avec une légèreté incroyable. Soudain, elle s'arrêta, réalisant qu'elle n'était pas seule, et jeta un regard en bas, dévalant encore une volée de marches. Avec des yeux ronds, elle dévisagea la fille blonde qui était assise contre le mur.
« Salut. »
Ciel se mordit la lèvre inférieure, partagée. Devait-elle parler à cette fille et prendre le risque d'être en retard, ou juste la snober et se barrer en courant? ... La deuxième solution ne paraissant pas convenir, la jeune démone s'assit à côté d'elle. Jouant avec une mèche, elle attendit une réponse. L'entortiller autour de son doigt pour la relâcher, ça allait trois secondes, mais après... Elle ressortit sa montre en argent et la regarda sous toutes ses coutures, résistant même à l'envie de la démonter pour voir comment ça marchait à l'intérieur. Problème : elle n'était pas sûre de savoir la réparer après. Ça rime à quoi d'attendre qu'elle cause, je vais être en retard moi! Tapotant en rythme sur ses genoux, elle attendait.

Victoria, je n'ai pas pris en compte ton message, normalement c'était à moi de répondre, et vu que je n'avais pas pu poster hier, alors que le rp était prêt, je vais pas tout changer. Désolée.

La vie est pleine de surprise, la mort est incomprise

Aléa fit un sourire bien mystérieux. Etrange ? Non toujours pas, elle avait vu ses deux jeunes femmes arriver en même temps. Deux en un dirait un marchand. Car au lieu d'une rencontre elle en faisait deux, quelle chance ?! La jeune ne répondit pas elle se contenta de faire un nouveau sourire, qui non seulement était intriguant mais qui vouait un certain voile de mystère à son air d'inconnue. Oui bon pour résumer elle donnait un premier air d'une folle ravagée, et un air d'une intelligence qui n'avait d'égal à sa beauté. Sans un mots, juste avec son regard elle salua les deux inconnues. L'un regardant sa montre qui devait vivre dans un monde où le temps compte alors qu'elle est immortelle, n'est ce pas une idée plaisante ? L'autre tout sourire, d'un anglais ravissant et quelques peu élégants qui semblait légèrement '' tête en l'air '' , cette comparaison plut énormément à la jeune fille qui sans toujours ne rien dévoiler comme son, désigna alors un objet au sol.
Cet objet sembla fortement intriguer les deux jeune femmes qui entouraient Aléa. D'un argent parfait, sans aucunes égratignures, un médaillon où un signe ,non inconnue à cette fameuse Ciel Phantomhive, trônait le coeur du médaillon. La marque d'un pacte démoniaque, mais qui était légèrement différent. Cette marque là, le pentacle était légèrement doré, et son coeur comportait une inscription.
'' I say who you are, and you no, I'm one who is watching you ''
Le teint des jeunes femmes sembla devenir plus pâle, la traduction de cette phrase semblait facile à comprendre néanmoins c'est en Anglais qu'Aléa la dit de nouveau, mais cette fois à haute voix.

'' I know who you are, and you no. I'm one who is watching you. ''

La jeune fille attendit alors la réaction des deux inconnues, qui ne l'étaient pas vraiment. Elle se doutait clairement de leur pensées. Ciel se disait certainement
'' Quelle est cette grosse blague ? '' et Victoria '' Qu'est ce que cela signifie donc ? ''

It's not alright.

La fille assise sur les marches de l'escalier désigna quelque chose de brillant, par terre. Un médaillon. Elle l'ouvrit. A l'intérieur, une étoile entourée d'un cercle, soit un pentacle. Ciel sursauta, puis passa ses doigts sur la paupière. Ça aurait pu être un hasard, mais quelque chose lui disait qu'il avait été laissé là dans un but précis. Celui qu'elle le trouve. Et surtout, cette phrase... « I know who you are, and you no. I'm one who is watching you. » La jeune fille serra les dents. Ces mots ne lui étaient pas inconnus, pourtant, impossible de se souvenir de qui les avait prononcés. Sebastian, ses parents? Quelqu'un d'autre? Cela n'était pas fait pour la rassurer. C'était peut-être destiné à une autre personne. Elle soupira. C'était d'une arrogance de dire que, parmi les six milliards et demi sur celle planète, il n'y avait qu'elle a être visée ; et pourtant... Pourtant, ça lui semblait vrai. La jeune fille fit un sourire innocent. Le but : les convaincre, elle et les autres, qu'elle ne savait pas du tout ce que ce bijou venait faire là, et que, dans le fond, ça lui était égal. Complètement faux.

Une sourde colère monta en elle. Petit à petit, on lui avait tout pris, ses parents, sa mémoire, sa «normalité»... Et celle fois, on la provoquait? Eh, Ciel, arrête ton délire. Un délire qui sonnait drôlement vrai, convenons-on. Et surtout, l'autre, là... La vampire blonde. Elle ne lui disait rien qui vaille, surtout avec son regard amusé. Cela devait la faire rire de faire peur aux passants. La jeune démone fut prise d'une violente envie de... Comment dire... Pas de fuir, mais de partir, voilà. D'échapper à cet objet qui n'annonçait rien de bon. Pourtant... Elle ne voulait pas s'éloigner. Elle jeta un regard assassin à Aléa, snobant sensiblement Victoria. C'est pas ses affaires, point barre. Elle replaça une mèche rebelle derrière son oreille, inspirant profondément pour se calmer. Avec l'impression d'avoir couru un marathon sans avoir bougé, elle se leva, monta une marche, une deuxième, en redescendit une, deux, trois, en remonta deux. Tout ça pour finalement se retrouver au même endroit qu'avant. C'est bête, je vous l'accorde. Mais ne me dites pas que vous n'avez jamais fait d'idioties du genre, je ne vous croirais pas.

Ciel fit un sourire tordu, qui n'avait rien de joyeux, ni même d'ironique. A peine furieux. Dénué de sentiments.
« Ça t'amuse, pas vrai? Pas moi, si tu veux tout savoir. Ces idiots là-haut m'attendent, donc si tu veux, tes histoires bizarres j'en ai pas besoin. C'est drôle, peut-être? T'as un humour franchement bizarre alors. On se comprend, n'est-ce pas? ... Et bonsoir, hein. »
Simple formule de politesse pour montrer que la jeune fille avait vu Victoria. Mais n'étant pas d'humeur, elle ne s'embarqua pas dans le "salut ça va quoi de neuf?"

Victoria, s'ennuyait...oh cela promettait a peine une discussion entamait que ses nerfs étaients a vifs, le tic tac du Big Ben inlassable lui tapait sérieusement sur son système nerveux, elle se danidnan sur ses talons hauts, scrutant les expressions, et les visages des deux jeunes Lady, elle se rendit aussi comte que des deux elle était la plus jeune en age mais pas de taille, souriant enfantine et adorable presque agacante avec son expression angélique, ses clochettes cliquetaient paisiblement au rythme de son va et viens, elle se pencha et prit le médaillon, baillant un peu ennuyée elle inspectat la petite babiole, ignorant la remarque de la jeune Lady aux cheveux bleus, alors sa.....encore un de ses symboles bizzare quelle a déja vue, comme celui d'Alois d'ailelurs.....son visage devint bleme et blanc tel de la craie.....Alois.....sa fait 2 ans quelle ne s'était pas rapeller ne ceresse qu'une seule fois son cousin par alliance......d'ailleurs ce drole de dessin ressemblait a celui quelle avait vue auparavant a la main droite de Claude Faustus, le majordome de son cousin auquel elle n'inspirait guère confiance....un doux vent agitat délicatement les pans de sa jupe dentellée, et dans le faible halo de lumière qui provenait des lampadaires, une lame d'un couteau de guerre a crancs d'arrets, en acier plaqué d'argent brillat un simple instant.....quand soudain elle apercut le visage énervé de la Lady aux cheveux bleutées.....tiens...un petit jeu s'imposait.......souriant déja d'amusement elle jeta le médaillon dans un fracas assouridssant sur les genoux de la jeune fille blonde......

[i] Esprit futile, idée fébile [/i]

Aléa fronça les sourcils, comment Victoria pouvait elle oser casser son médaillon. Aléa le ramassa. Elle le répara, on ne sait pas comment d'ailleurs vive doigt de fée, sous les yeux silencieux des deux concernées. Aléa lança un regard assassin aux deux. Une seule traduction à ce regard.
On se calme les deux! Vous n'êtes plus maîtresse de votre destin, au lieu de vous énervez, observez!
Aléa se leva et indiqua aux deux jeunes filles de la suivre. Cette fois son regard était sérieux et grave, nul place au doute ni même à l'idée de s'opposer à elle. Elle les conduisit à une petite ruelle sombre ou un banc dénudé était présent. Elle le désigna et alla s'assoir. Elle ressortie le médaillon et pour la première fois face aux deux jeune filles elle déclara à haute voix.

'' Vous n'êtes plus maître de votre vie. C'est ainsi, c'est un fait. Inutile d'en dire plus. ''

La blonde, enfin, celle des deux qui étaient la moins embêtante, c'est-à-dire celle qui n'avait pas bougé depuis le début, lança soudain le médaillon. Avec un fracas du diable, il atterrit par terre et se cassa en deux. Allons bon... Par réflexe, Ciel se baissa pour la ramasser, avant de se redresser. Ce n'était pas le sien. Si cet objet était cassé, ça lui était égal. Cela pouvait même frustrer Aléa. Sauf qu'elle s'en empara et le répara. Après avoir terminé son bricolage, elle les entraîna sur vers un banc, où elle s'assit.
« Vous n'êtes plus maître de votre vie. C'est ainsi, c'est un fait. Inutile d'en dire plus. »
Ciel eut un sourire agacé.
« Ce n'est pas parce que vous êtes concernée que cela vaut pour tout le monde... »
La jeune fille faillit ajouter un "Pas moi, en tout cas." mais ça coulait de source. Sinon, elle n'aurait pas pris la peine de parler. Refusant de s'asseoir à côté d'Aléa, elle se mit dos à un muret. Pensant aux directeurs des usines "Funtom" qui l'attendaient là-haut, elle re-soupira. Elle avait le choix, franchement. Plein d'options. Enfin trois d'envisageables. Rester là avec les deux autres filles qui s'amusaient à la frustrer gratuitement? Monter les marches de Big Ben et aller rejoindre les hommes d'affaires, là-haut? Ou simplement rentrer à la maison, flâner dans le jardin, somnoler dans un fauteuil moelleux à souhait avec un chocolat? La troisième solution était tentante. Ciel tergiversait. Keufèrkeufèr...? Finalement, la démone se redressa et commença à s'éloigner.

-Fin pour moi si personne ne la retient, j'ai un peu trop de rp désolée. ^^' Sinon continuez et je reviens quand 'aurait tout fini, ok?-

Victoria éclata d'un rire incontrolable, presque démant, comment cette fille peut-elle dire quelle ne sera plsu maitre d'elle-meme, elle qui avait tant vécue et tant vue, elle membre de la Cosa Nsotra, elle au coeur de pierre, elle dont les armes ne comptent que par milliers, pour qui se prenait-elle a ainsi lachez des paroles, sans meme connaitre leurs pids, leurs impact, leurs sens, car si quelqu'un doit parler en présence de Victoria Mccroffed il doit bien reformuler sa phrase dans sa tete au minimum 3 fois. Victoria Sourit et s'adossat a la ramparde, tant pit si elle arrivait a son diner d'affaire avec Don Vito en retard sa ne changerait rien, esquissant un sourire en baissant la tete, elle la releva aussitot avec une expression angélique et joueuse,on va s'amuser....se dit-elle en riant silencieusement.
_ Dites Moi Milady pourquoi ne serais-je plus maitre de moi-meme? lacha la jeune duchesse en souriant* elle scruta l'expression du visage de la lady aux cheveux blonds, Mmmh pour une fois on allait pas s'ennuyer se dit-elle !

» Mais ils foutent quoi ici à Minuit !
» Tu avance & tu tombe... Mais tu te relève toujours ~
» Ashe Solima, la fierté n'a pas de nom, mais l'héritage a un devoir no finish ♪
» Mais qu'ont - ils tous avec cette grosse horloge ? # L.ibre

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